L’accueil avait lieu à l’hôtel de "Soubise".

Heu, Michel !		les Archives nationales c’est en face à Sous bise
Nous aurions dû nous méfier. Avec un nom pareil		goutte au nez assurée
surtout que pour pas salir		les stands étaient dehors

mais bon, les lieux valaient ce sacrifice

	et puis l’accueil fut chaleureux tant à l’extérieur qu’à l’intérieur
Toutes les portes nous furent ouvertes
	enfin... ...presque

Un petit aperçu de nos régions

	Vers midi, discours, remise de médaille suivi d’un petit remontant

Enfin, le soir

	test de la vie parisienne Pas celle d’Offenbach,
	la vraie Métro, boulot, dodo

Et là, les parisiens surentraînés l’emportent haut la main

Provinciaux le soir	Parisiens le lendemain

quelle pêche

Et eux remettent le couvert le 20 Novembre

qu’on se le dise à Paris et alentours !

Et pour finir, le message De notre Fédération :

Vous êtes formidables. Recevoir 4182 personnes en deux jours dans un lieu qui lors de sa construction n’a pas été prévu pour cela est un challenge que vous avez su remporter. Vous vous êtes très bien adaptés à des conditions particulières de travail.

Le lieu avait des avantages importants et quelques inconvénients. L’Hôtel de Soubise est un très bel écrin et sa proximité avec le CARAN a permis l’organisation de nombreuses visites. Les Archivistes des Archives Nationales ont eu aussi la gentillesse de nous offrir des visites supplémentaires pour satisfaire un maximum de personnes.

Cependant, nous n’avions pas le même confort que dans les salons régionaux et vous avez découvert la vie des marchands forains supportant les aléas climatiques, il vous a fallu notamment sortir du bâtiment pour vous restaurer et trouver des lieux d’aisance.

Au total, nous avons réussi à faire venir une foule considérable à une manifestation parisienne de généalogie ce qui est une première pour la Fédération.

Les Archivistes ont admiré notre efficacité et nous ont félicité pour le respect que nous avons montré aux lieux.

Réunir autant de monde sans causer de dégât est remarquable et votre sens du « bien faire » a été remarqué par les responsables des Archives de France.

Les organisateurs

Michel Sementery

Jean-Yves Houard

Christiane Dieux